Il y a des jours comme ça qui désormais passent inaperçus.
Sur le calendrier, la fête des saints côtoie celle des morts, mais l'une et l'autre n'ont plus vraiment la côte. Le culte des ancêtres, les chrysanthèmes et les repas de familles se délitent d'une génération à l'autre. L'homme connecté dévore le philosophe et l'homo materialis laisse le sapiens sur la touche.
Sur le calendrier, la fête des saints côtoie celle des morts, mais l'une et l'autre n'ont plus vraiment la côte. Le culte des ancêtres, les chrysanthèmes et les repas de familles se délitent d'une génération à l'autre. L'homme connecté dévore le philosophe et l'homo materialis laisse le sapiens sur la touche.
En cette journée particulière, Mademoiselle Cami se plait à retrouver ses souvenirs d'enfant, les moments délicieux de son passé si proche, le fil de son histoire qu'elle oublie si souvent. Ainsi continuent de vivre ceux que nous aimons, lorsque le chagrin de l'absence cède tendrement la place aux douces rémanences des petits riens qui tricotent l'éternité des sentiments.
Cudna ,przepiękne oczy i taki realny wyraz twarzy .
RépondreSupprimerje l'entends qui dit tout bas du Guillaume Apollinaire mais
RépondreSupprimerelle mélange
le Pont Mirabeau et l'Adieu"j'ai cueilli ce brin de bruyère..."
Bises!
Je te trouve bien philosophe aujourd'hui et l'humeur un peu morose. En tout cas, tu as dit de belles choses et Melle Cami parait très pensive.
RépondreSupprimerBonne soirée, bisous.
Wspaniała dziewczyna!
RépondreSupprimerBonsoir,
RépondreSupprimerMelle Cami est magnifique et perdue dans ses pensées.
Tu dis de bien jolies choses.
Bonne soirée
Bisous
martine
Merci à toutes. C'était un jour "sans".....
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